La cuisine est toute neuve ! Refaite en septembre 2007 inaugurée en novembre 2007 elle a tous les avantages des cuisines modernes ( pratique, idéale et surtout pas cher...Merci Ikea). Elle donne directement sur le salon d'où l'on peut discuter avec le cuisinier qui s'affaire aux fourneaux. Très lumineuse on peut manger en admirant les arbres du jardin.
A l'étage, il y a la chambre de Faustine et la chambre de Maïlys . Maïlys à une petite chambre très cosy avec un lit une place, Faustine est a un lit 2 places ( nous n'avons pas encore de photo de ces 2 nouvelles chambres ...mais elle sont très chouettes !). Dans chacune des chambres, en plus du lit, se trouve l'essentiel de leur petit bordel entassé ça et là. Pour Fautisne c'est une chambre d'une jeune demoiselle de 16 ans, avec tout ce que cela implique de poster des derniers chanteurs en vogue, de peluches moelleuses, de BD marrantes éparpillées ça et là et de chaussettes pourries oubliées dans les tiroirs du bureau :-)
Pour avoir un descriptif de la chambre de Maïlys, reprenez la phrase ci-dessus à l'identique ( avec les chaussettes en moins, Maïlys est une jeune demoiselle de 17 ans relativement bien ordonnée !!).
Les photos restent à faire.
Une troisième chambre, toute nouvelle, a été aménagée au rez de chaussée. C'est la chambre de Marceau, 12 ans, où sont concentrés l'essentiel des jeux. Les playmobil jouxtent les monstres. Les bandes dessinées occupent une bonne partie des étagères. Cette chambre offre deux couchages (sous le lit une place ...non pas la plage mais un autre lit !) . C'est pratique quand les copains sont invités !!
Voici quelques vues du salon attenant à la cuisine. Ouvert et clair .... c'est un chouette lieu de vie !!!
The parents room, on the left, behind the shelf.
Les parents dorment là, à gauche, dans cette pièce, derrière la bibliothèque, sur un lit auquel les enfants n'ont pas accès car il est le sanctuaire mystérieux dans lequel ils ont été conçus. Dans le petit monde des enfants, nul ne sait exactement ce qui se passe dans cette chambre bibliothèque, et les hypothèses vont bon train : le père glisse la pointe de ses coudes dans le nombril de la mère et ils se mettent à pousser des cris comme s'ils apprenaient les voyelles (hypothèse des garçons de 12 ans) ; une lumière blanche y descend du ciel et des violons se font entendre ainsi que des choeurs de femmes qui psalmodient en langue des anges (hypothèses des filles de 4 ans amoureuses de leur père) ; il y a un passage secret qui s'ouvre mais il faut tirer sur le bon livre qui est un livre de magie noire, et si on se trompe, la bibliothèque coulisse et l'on tombe dans un univers parallèle d'où nul n'est revenu, jamais, tu m'entends, jamais (hypothèse des garçons de 12 ans)
Il y a donc 4 chambres, un bureau, un grand salon attenant à une cuisine spacieuse, un jardin arboré...de quoi vous accueillir confortablement !
La maison vue du jardin et le jardin vu de la maison - The house and the garden
Une vue du jardin, à partir de la porte de la chambre du rez-de-chaussée. Le jardin fait 400 mètres carrés, encore que l'esprit qui y règne ne soit guère celui des jardins à la française, aussi dira-t-on plutôt 400 mètres plus ou moins carrés, parfois rectangle, voire carrément 400 mètres losange. Devant, un essai de plantation florale où seuls les rosiers acceptent de pousser. Au fond, un petit cerisier, un pommier. La joie et la fierté du jardin, c'est son tilleuil et son figuier, arbre centenaire fertile offrant ses fruits et son ombre bleue en abondance. On distingue sur la photographie, un pas japonais, comme on dit dans les revues, qui ne va pas droit, et c'est tant mieux parce que ce jardin prêt à la micro-errance et à la dérive indolente, entre farniente et laisser-faire. Au loin, des roses trémières, géantes roses ou blanches qui font exploser leurs fleurs pour essayer de damer le pion au lilas et au laurier.
L'entrée du village
En effet. Il s'agit du panneau indicateur à l'entrée du village.Le Cailar est en effet la Mecque de la Bouvine et la Patrie de la course camarguaise. Les Toros noirs et fumants sont lâchés dans des arènes, aux contrepiste d'un rouge sang, les cornes ornées de brin de laine et de cocarde. Arrivent les razeteurs, dans leurs habits blancs comme des suaires, et la course peut commencer. les hommes effleurent les bêtes, et volent entre leurs cornes. Ils n'ont pour eux qu'un crochet qui prolonge leur main, la vitesse de leurs jambes, et l'intuition des voltes de la bête. A la fin, on envoie Carmen, et les trompettes rendent un hommage au toro qui s'en retourne, bien vivant, à son toril, fier, la tête dressée bien droite, regardant deci-delà, si un autre de ces ridicules bipèdes voudrait s'aventurer à effleurer son front. Les affiches qui annoncent les courses taurines font figurer en larges lettres noires les noms des taureaux les plus illustres ; ceux des razeteurs passent ensuite, plus petits. Car c'est à l'animal qu'on rend ici un culte, et à l'entrée du village, un mausolée a été dressé en l'honneur de l'un des toros les plus braves, Lou Sanglié. La course camarguaise, ici, n'est pas un sport, c'est une communion.